Surieu / Surieu-le-Haut / Saint-Romain-de-Surieu

Baptismal font in the church of Surieut-le-Haut, consisting of a round taperin basin decorated with a blind arcade of round arches resting on capitals with captals and bases; the bases on a roll moulding all around; the upper rim ofe the basin is damaged; the base of the font consists of a number of volumes which have come together at some time in the past, but are unlikely to have originated together: right undre the basin underbolw is a narrow neck and a splaying round lower base that appears to be part of the same block as the basin; below this is a totally plain cyclindrical stem; all of the above are mounted on a quadrangular block that is plain except for some shy effort at chamfering the upper corners. The whole object is crude and appears composite. Whether any part of it belongs to the font of the original 908 AD church here is a hard question to answer. Charvet (1761) informs: "Surieu (Eglise de) bâtie en 908, consacrée par l'Evêque de Viviers". Berthin (1838) writes: "Le village de Surieu forme, dans le canton de Roussillon, une section de la commune de St-Romain", and refers to Chorier's 'Histoire générale du Dauphiné' of 1661, where it is stated that Atenulphe "Seigneur de Tullins,& Agnes sa Femme, Ponce, surnommé Hector, & Hugues, Fils de Bournon" restored several churches, including those of "S Romain" and "Surieu" to the Abbaye S. Pierre de Vienne in 1091. Berthin (ibid.) further notes that the old church of Surieu was located north of the river Sane -hence the nickname of le-Haut- while St-Romain was located south of the river; Surieu was already a hamlet of Saint-Romain [cf. supra] and would later merge into the present Saint-Romain-de-Surieu. Both churches, therefore, existed separately by the end of the 11th century, and Chavret [cf. supra] gives the consecration date for the church at Surieu as 908. Berthin (ibid.) adds: "L'église de Surieu se recommande à l'attention des monumentalistes. C'est l'un des plus intéressants édifices religieux de notre province. On parvient par quelques marches à la porte, qui offre, ainsi que le restant de la façade, le caractère du pur roman. La tête de ses montants se développe en consoles pour recevoir le linteau, ou sont sculptés la croix grecque, l'alpha, l'oméga, et une figure humaine monstrueuse, renversée sur ses mains. Une tète fantastique est placée à la sommité du tympan; la voussure est bordée par une archivolte très-saillante; au-dessus de la porte s'ouvre une fenêtre considérablement évasée, de manière à rassembler et à transmettre dans l'intérieur du bâtiment la plus grande quantité possible de lumière. Le clocher, placé à l'angle droit, et soutenu par un contrefort ingénieusement établi, appartient à une époque postérieure. L'abside appuyée à l'extérieur par des contreforts accompagnant les murs jusqu'à leur cime, présente, dans l'intérieur, des arcs à ogives, ornés d'une espèce de billettes semblables à celles des anciennes arcades des nefs de St-Maurice. Les fenêtres à plein cintre ont des colonnettcs légères à chapiteaux de feuilles renversées. Ce mélange du plein cintre et de l'ogive, composant le style de l'architecture romane tertiaire ou de transition, fixe incontestablement an douzième siècle la date de cette partie de l'église. C'est ici la manifestation d'un faire architectonique dont j'ignore quel est le type dans le Dauphiné, mais dont St-André-le-Bas, St-Pierre-de-Marnans, et la partie méridionale de l'église d'Andance, sont aussi des émanations caractéristiques. [...] Un mur perpendiculaire ferme brusquement le chœur, le rond-point ayant été ruiné. On remarque parmi ses débris des fragments de colonnettes et de bas-reliefs. La fenêtre placée derrière l'autel possède un ancien et beau vitrail représentant la Vierge, à ses pieds sont deux clefs en sautoir, armes de l'abbaye de St-Pierre de Vienne. Cette vénérable église, veuve de pasteur, abandonnée aux usurpations d'un voisinage cupide, aurait besoin de nombreuses et pressantes réparations." After which, Berthin (ibid.) makes some suggestions for urgent repairs to the building, but does not mention its furnishings. The font here is listed and illustrated in Palissy [ref.: PM38000323] as the 12th-century font of the church of Surieu-le-Haut as a baptismal font made of white marble and dated to the 12th century.