Grande-Enneille No. 1 / Grande-Eneille / Grande Enneille

Baptismal font of the Romanesque period, probably 12th century, similar to the ones at Wauthier-Braine, Russon and Flônes: quadrangular basin with heads at 90-degree angles, and blind arcade on the sides; raised on a broad central shaft with thinner outer colonnettes, all of them with moulded bases. Noted in Tolenaere (1957) [cf. infra]. Listed in Ghislain (1986) as one of a group of Mosan fonts in the 'namurois' style. Noted and illustrated in the BALaT database, KIK-IRPA, Brussels (Belgium), with provenance from the Abbaye de Neufmoustier, Huy, and date between 1100 and 1200. Catalogued and illustrated in Ghislain (2009) as a the basin and lower base of a baptismal font of the Namurois group, filiation de Saint-Séverin-en-Condroz, made of limestone (calcaire de Meuse) ca. 1160, the five columnar support being a later replacement; the font had been, notes Ghislain (ibid.), in a niche off the nave, from which it was removed in 1911; this author remarks on the similarity of details with, among other Condroz affiliation fonts, the one at Bléhen. Described and illustrated in Robert Didier, Françoise Leuxe et Jean-Luc Graulich's L’église d’Eneille: sa sculpture et son orfèvrerie [www.STADTAUS.com_eglise_ste_marguerite_eneille.pdf] [accessed 6 November 2021]: "Fonts baptismaux. Calcaire de Meuse, 89 cm (fût central et colonnettes renouvelées). Ecole mosane, début XIIe siècle. Par sa cuve cylindrique cantonnée de quatre têtes masculines et décorée, sur chaque face, de quatre arcatures soutenues par des colonnettes avec chapiteau à palmettes simplifiées, par le gros fût central flanqué de quatre colonnettes reposant sur une base carrée amortie, ces fonts baptismaux sont caractéristiques d’un type mosan dont relèvent ceux de Flostoy et de Pondrôme par exemple. L’austère simplicité des fonts des Enneilles est compensée par les quatre têtes sculptées rigoureusement, leur relative schématisation contribuant à en souligner la force expressive. La simplicité de ces fonts, le traditionalisme inhérent à ce genre de production rendent une datation précise malaisée. La datation proposée par L.Tollenaere (début XIIe siècle) serait peut-être à revoir." [cf. Index entries for Grande-Enneille Nos. 2 and 3 for two ancient stoups also in this church]