Champ-le-Duc / Champ-sur-Lizerne (Vosges)

Described in Corblet as an octagonal mounted font of the 15th century, although tradition has it that it goes back as far as Charlemagne [!]. Corblet states that among the "bas-reliefs, d'une interprétation difficile", M. Digot has suggested an identification of Charlemagne in a hunting scene and another of the holy pope Leo III presenting the king of the Franks with the imperial cape. (Corblet, 1881-1882, v. 2, p. 143-144). Listed in Palissy [ref.: PM88001027] [https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM88001027] [accessed 18 August 2022]: "Fonts baptismaux [...] granite [...] 16e siècle [...] Cuve octogonale portant sur ses côtés des bas-reliefs décorés de deux panneaux à fenêtrages, d'un buste d'un roi de profil, la Vierge de Pitié, un évêque et le donateur (?), un cavalier sonnant de la trompe, une étoile. Les deux faces voisines de la muraille sont nues." Illustrated in Mémoire [ref,: AP54L02941] [https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/AP54L02941] [accessed 18 August 2022] and Mémoire [ref,: AP54L02946] [https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/AP54L02946] [accessed 18 August 2022]. The entry for this font in Racines de Bruyères et sa Région [http://www.racines-bruyeres.fr/pages/fiches-inventaire/champ-le-duc/fonds-baptismaux-de-l-eglise-romane.html] [accessed 18 August 2022] notes: "Fonts Baptismaux de l’Eglise romane Notre Dame de l’Assomption [...] 15ème siècle [...] Les fonts baptismaux se trouvent à droite de l’entrée de la nef, adossés à une niche, réalisée en 1910, d’un style ne correspondant pas à l’édifice roman. Ils sont antérieurs à la reconstruction de la nef de 1720. Auparavant, ils se trouvaient dans le croisillon de droite sous l’oculus occidental. Les fonts baptismaux appartiennent à la classe des fonts pédiculés qui se composent : d’un calice, d’un font, d’un socle et d’un couvercle en bois pour conserver l’eau bénite. D’une hauteur de un mètre environ et d’une circonférence de deux mètres, ils sont formés d’une pierre octogonale, en grès blanc, creusée intérieurement et ornée de huit médaillons sculptés en relief d’un diamètre de 30 centimètres. Diverses rosaces occupent quatre de ces médaillons, dont l’un représente la roue solaire à six rayons, symbole de l’art chrétien. Sur l’un des quatre autres, d’après a tradition, est représenté : Charlemagne, sa couronne sur la tête, en long cheveux. Sur une autre : un évêque coiffé de la mitre donnant labénédiction à un enfant agenouillé devant lui. Sur le troisième : la Vierge recevant le corps du Christ mort sur ses genoux. Sur le quatrième : un cavalier soufflant dans un olifant, peut-êtreune représentation de Saint-Hubert [...] Source: C. LARDET-J.D. DIEDLER"